Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -35%
Pack Smartphone Samsung Galaxy A25 6,5″ 5G + ...
Voir le deal
241 €

Partagez
 

 ANTON & ANYA - Devils all around you

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anastasia I. Vassilieff
Anastasia I. Vassilieff
membre en danger җ fight for your life

җ Messages : 39
җ Date d'inscription : 21/07/2012

ANTON & ANYA - Devils all around you Empty
MessageSujet: ANTON & ANYA - Devils all around you   ANTON & ANYA - Devils all around you Icon_minitimeMer 25 Juil - 14:00


Anya croisa les bras. Elle était contrariée. Et ce n’était pas bon signe lorsqu’elle était contrariée. Pourquoi ? Parce qu’elle n’avait aucune patience, et qu’il ne fallait pas grand-chose, absolument rien même, pour qu’elle passe de contrariété à colère. Puis de colère à rage folle. Ce qui terminait par de la casse. Au sens propre. Et elle détestait cela, parce qu’elle avait un côté maniaque qui ne tolérait pas le désordre. Même lorsqu’il venait d’elle. Et dans ce genre de situations, il n’y avait pas grand-chose qui la calmait. Prendre sur elle n’était en aucun cas une option. La vampire poussa la porte de son immense chambre. Le lit était impeccablement fait, pas un grain de poussière ne volait dans la pièce. Elle sortait d’un long bain. Elle était encore à demi couverte de mousse et se baladait nue dans la partie de la maison qui lui était exclusivement réservée. Pourquoi la vue de la chambre l’énerva t’elle encore plus, personne n’aurait pu en donner la raison. D’autant plus lorsque l’on savait qu’elle était aussi énervée à cause de son mari. Etait il absent ? Non. S’étaient ils disputés ? Pas plus. Non, rien de tout cela. Il n’avait simplement pas jugé opportun de la rejoindre dans le bain. Cela suffisait il à la mettre dans une rage noire ? Absolument ! Anya ne brillait pas par sa patience. Elle pouvait se montrer bien plus capricieuse qu’une enfant gâtée. Car, hormis le fait qu’elle n’était plus une enfant depuis très longtemps, elle n’avait jamais à souffrir d’un quelconque manque matériel. Ses manques étaient plutôt affectifs. Chose qu’elle n’avait jamais cessée de reprocher à Anton, qu’ils soient dans une bonne ou mauvaise période. Mais pour l’heure, ce n’était pas son plus gros problème. Le manque d’attention de son cher et tendre n’en était même plus un. Elle voulait lui faire amèrement regretter de l’avoir délaissée. Quoi de mieux que de lui rappeler pourquoi il l’avait épousée. Anya ouvrit son immense dressing, ne sachant que mettre pour susciter l’intérêt chez son maussade mari. Elle attrapa une première robe, rouge sang, pour la retirer presque aussitôt. Elle en essaya une autre d’un bleu électrique, toujours aussi peu satisfaite. Elle voulait le rendre fou, mais parfois, elle avait l’impression qu’il ne s’intéressait plus à elle. Elle jeta finalement son dévolu sur une robe bustier blanche et les escarpins assortis.

« Anton ! » cria t’elle du haut des escaliers. Mais seul le silence lui répondit. Elle descendit les escaliers lentement, appelant une seconde fois son époux. Malgré les quelques domestiques, cette maison était bien trop grande pour elle. Pourtant, elle était née dans un palais, presque une princesse. Cependant, elle préférait ce qui était à taille plus… Humaine. Dieu qu’elle détestait ce mot. Tout autant qu’elle en détestait les êtres qu’ils représentaient. Elle avait été ainsi elle aussi. Une humaine. Mais c’était il y avait si longtemps. A présent, ils la répugnaient. Rien de plus de la nourriture, du bétail. Cohabiter avec ces misérables créatures ? Que les dieux païens l’en préservent. « Anton ! Vas-tu me répondre ? » Anya lâcha un soupir qui en disait long sur ce qu’elle pourrait éventuellement lui cracher au visage comme qualificatifs s’il daignait sortir de sa cachette. Elle était à présent arrivée au bas de l’escalier de marbre. Cette demeure était vraiment trop grande pour une femme ayant aussi peur de patience qu’elle. Elle ouvrit une première double porte, donnant sur un grand salon. Mais la pièce était complètement vide. D’humain ou de vampire. Elle la referma rageusement. Il n’y avait qu’un seul endroit où il pouvait être. Son précieux bureau. Elle n’avait même pas envie de savoir ce qu’il y faisait. Jamais elle n’avouerait qu’à chaque fois, elle craignait de le trouver mort. Elle ouvrit la porte, sans frapper. Il était assis dans son fauteuil favori. Il ne bougeait pas, mais ce n’était même pas révélateur. Les vampires étaient des mort-vivants, donc au final, ils étaient capables de la plus parfaite immobilité. Mais quand elle le contourna, elle vit qu’il avait les yeux ouverts et jouait avec un stylo.

« Ne juge surtout pas utile de me répondre lorsque je m’inquiète pour toi. » lâcha t’elle froidement. Comme s’il allait croire un traître mot de sa phrase on ne peut plus glaciale. Anya regarda le bureau avec un regard critique. Elle ne comprenait pas son acharnement à prétendument travailler dans cette pièce, qu’elle trouvait ennuyeuse et sans personnalité. Elle avait presque du le forcer pour venir s’installer à Cardiff. Mettait il tout sa mauvaise volonté à ne pas vouloir s’intégrer ? Probablement, mais elle préférait l’ignorer. Les non dits restaient parfois plus simples. Les mains sur la taille, elle se tourna face à lui, souriante, ayant malgré tout le vague espoir de le dérider. Vague. Espoir.
« Je t’ai attendu. Dans le bain. J’aurais aimé que tu me rejoignes. » lâcha t’elle avec une innocence outrageusement feinte. Elle n’avait jamais innocente. Pas depuis qu’il la connaissait, en tous cas. Elle avisa le fauteuil de cuir qui trônait de l’autre côté du secrétaire. Elle s’y installa avec la grâce qui était sienne. Ainsi, Anton ne pouvait se détourner d’elle. En théorie. Parce qu’il ne souhaitait nullement lui parler, il n’aurait qu’à partir. Mais elle doutait grandement qu’il le fasse. Mais peut être était elle trop sure d’elle ? Elle croisa les jambes, ramenant sa longue chevelure brune sur son épaule gauche. « Me trouves tu à ton gout ? » demanda t’elle, joueuse.
Revenir en haut Aller en bas
Anton D. Vassilieff
Anton D. Vassilieff
membre en danger җ fight for your life

җ Messages : 28
җ Date d'inscription : 19/07/2012

ANTON & ANYA - Devils all around you Empty
MessageSujet: Re: ANTON & ANYA - Devils all around you   ANTON & ANYA - Devils all around you Icon_minitimeMer 25 Juil - 23:56

Réflexion profonde d'un être millénaire. Les pensées du vampire se dessinaient d'elles-mêmes dans ses prunelles océaniques. Bien souvent silencieux, ne parlant que quand il le fallait, les siècles pouvaient parfois se lire dans son regard. On pouvait de temps à autre y distinguer toutes les choses observées par cet être immortel. Lunatique et changeant, marqué par tout ce passé intensément charger, il avait appris à vivre avec. Parfois lassé il n'aurait que pour envie de s'enfoncer un pieu d'argent dans le coeur, de souffrir un instant pour connaître la véritable vie après la mort. Anton avait fini par se demander ce qu'un monstre comme lui, ce qu'un damné pouvait espérer vivre après ce point de non-retour. Longtemps il avait voulu passer à l'acte, jamais il ne l'avait fait pourtant. Son instinct vampirique se réveillant dès lors afin de faire remonter en lui toute cette ambition qu'il vénérait presque. Se rappeler, faire appel à ses souvenirs, ceux enfouis si profondément qu'ils étaient presque douloureux à faire ressortir, à s'en rappeler. Des images de sa vie humaine, de ce passé qu'il haïssait au point de pouvoir s'en rendre malade, se demandant comment il avait pu être cette chose si inférieure, si abominable. Il était tellement idiot dans sa condition humaine, il se croyait être le plus puissant, le plus grand, étant loin de se douter toutes les choses que la nuit pouvait abriter en son sein. Gardant jalousement le secret de la présence de ces êtres magnifiques, parfaits. Sa destinée était liée à la nuit, il n'en savait rien, mais d'un simple geste, balayant quelques feuilles dans un coin de son bureau massif il enterrait à nouveau ces visions. Tout était différent à présent, la nuit était apaisante, calme. Le chasseur pouvait rôder dans les rues et mordre les plus belles proies qu'il aurait pu trouver sur sa route. L'odeur du sang remontait jusqu'à lui, forte et douce à la fois. Quelques gorgées d'un verre tiède. Le genre d'hémoglobine qu'on ne sort que trop rarement, le genre de sang qu'il ne buvait qu'une fois ici et là, économisant avec soin le précieux breuvage, car un jour prochain les quelques cinq litres de ce sang cesseraient d'être présent dans sa collection. Liquide rouge directement extrait des veines de son épouse, de sa compagne. Buvant la vie qui battait en elle, savourant la meilleure chose dans ce monde, chérissant presque le fait d'être surement le seul vampire capable de boire le sang d'un autre vampire, du moins à peu près. Le sang impure de sa femme, celui de sa condition humaine, mais peu importait, car il était essentiel pour tout vampire de se nourrir et il y joignait la nécessité au gout exquis d'un grand cru.

Se perdant dans les limbes de la liqueur, il se revoyait quelques décennies plus tôt. Il se souvenait d'une nuit particulièrement agréable où les bombes allemandes fusaient dans le ciel. Ne prenant pas la peine de s'abriter dans une cave, peu importait qu'une bombe tombe sur eux, les deux amants étaient bien trop passionnés pour s'arrêter en plein milieu. Nuit torride sous les flammes mortelles des explosifs. Ebats vampiriques violents, renversant lampes, brisant meubles et fissurant les murs. Couverts de sang il avait pris sa compagne avec vigueur, démontrant à celle qui doutait de son ambition que celui qu'elle avait pu suivre dans la mort était toujours vivant, toujours aussi puissant et plus encore, jamais elle ne s'était plainte, souvent elle en avait redemandé. Entièrement satisfaite de retrouver Anton dans toute sa splendeur, celui-ci aimait cependant la frustrer, la refreiner. Douce torture qu'une envie de coucheries non satisfaite. Cet agréable souvenir et le plaisir sadique qu'il prenait à la voir hurler sa frustration était douce, parfaite et intense. Aimant les paradoxes il se retrouvait parfaitement servi avec ce souvenir. Quelque chose semblait pourtant le sortir de cette agréable rêverie. Une voix qu'il ne connaissait que trop bien, venant du fin fond de l'immense villa. Les yeux vers le ciel, il sentait une tempête s'abattre sous son toit. Il regrettait parfois les siècles où la femme devait se taire et obéir. Machiste sur les bords il venait d'un autre monde. Soupirant et toujours stoïque dans ce fauteuil qui le suivait partout depuis des lustres, il patientait tout simplement, presque gentiment. A quoi bon éviter l'inévitable. Et surtout Anton ne se voyait pas se détourner d'elle. Il était plus vieux, plus fort et il était surtout le mâle.

Dès lors la demoiselle, la dame, la reine faisait son entrée dans le bureau de son mari. Elle tournait autour de lui tel le requin autour de sa proie, il ne bronchait pas, ne bougeait pas. Anton laissait faire la tigresse. Aucune parole, aucun geste pour la stopper et Dieu sait qu'il rêvait de la jeter à l'autre bout de la pièce. Portant une énième fois ce verre à ses lèvres, le vampire la laissait déglutir son venin cynique. « Et tu n'as pas pensé que je n'avais pas envie de te rejoindre ? C'est trop dur pour toi de l'imaginer ? » A vrai dire il avait pensé à la rejoindre, mais trop occupé à s'occuper de calculer chiffres et davantage de chiffres, compter les humains rentrant dans ses diverses entreprises, ceux qui payaient pour boire et se déchainer sans se douter une seule seconde qu'ils étaient en fait les véritables festivités pour des choses qu'ils ne comprendraient surement jamais. L'idée de massacrer des centaines et des centaines d'humains en l'espace de quelques minutes, quelques heures lui plaisait grandement en fait. Peut-être qu'il aspirait à ça ce soir, chasser, déguster, ou peut-être qu'il n'aspirait qu'à être avec elle, une fois de plus et asseoir son pouvoir sur Anya, toujours plus. Ses yeux se posaient d'ailleurs sur elle. Finalement devait-elle se dire. Les yeux perçant, décrivant la silhouette parfaite de cette brune aussi volcanique en apparence qu'à l'intérieur. Un fin sourire se permettait même de se dessiner « Sois clair et dis ce que tu veux. » Il le savait, il lisait en elle, elle n'aurait pas passé telle tenue rien que pour flâner dans l'immense demeure, elle le voulait et elle voulait qu'il la désire du plus profond de son être, qu'il montre tout l'intérêt qu'il savait y porter. La trouver à son gout ? Mille ans en sa compagnie devraient suffire pour répondre à cette question posée bien trop de fois. D'un bond aussi furtif que soudain il l'avait amenée sur le bureau, la laissant le surplomber que légèrement, lui qui était si grand. Un index sur ses lèvres, la faisant taire, l'empêcher de placer quelconque paroles, tous crocs dehors, il rêvait de la mordre, il en mourrait d'envie, ses canines se promenant contre sa nuque, frôlant cette peau si fine, si douce. « J'ai encore le gout de ton sang en bouche tu es si appétissante. » Mordillant à présent, sans créer de plaies, sans oser se nourrir pour mourir, la bête pas folle tenait un tant soit peu à rester en vie quelques temps encore. « Tu es à moi Anastasia. Je t'aurai réduit en un tas de poussière funeste si tu n'étais plus à mon gout. »
Revenir en haut Aller en bas
Anastasia I. Vassilieff
Anastasia I. Vassilieff
membre en danger җ fight for your life

җ Messages : 39
җ Date d'inscription : 21/07/2012

ANTON & ANYA - Devils all around you Empty
MessageSujet: Re: ANTON & ANYA - Devils all around you   ANTON & ANYA - Devils all around you Icon_minitimeMar 31 Juil - 23:00


« Aouch. » répondit elle, stoïque, alors qu’il émettait l’idée que, peut être, éventuellement, il n’avait pas eu envie de la rejoindre. Non, ce n’était pas concevable pour elle. Car s’il ne souhaitait désormais plus la rejoindre dans un simple bain, il pouvait tout aussi bien la répudier. Mais apparemment, il n’était pas aussi désintéressé qu’il le prétendait. Il souriait même. Les miracles existaient peut être encore. « Ai-je vraiment besoin de le dire? Je ne te pensais pas si bête… » lâcha t’elle avec un petit sourire presque ouvertement moqueur et taquin. Il l’avait attirée vers lui, un doigt sur sa bouche pulpeuse pour qu’elle ne dise plus un mot. Comment pouvait elle en être si sûre ? Elle le connaissait si bien qu’elle n’avait pas le moindre doute. Anya sentait les crocs sur sa nuque. Un bref instant, elle fut envahie par une sourde panique. Et s’il la mordait ? Si son envie d’en finir se faisait soudainement plus forte maintenant qu’il avait la solution juste sous les yeux, ou plutôt sous les dents ? Il se contentait pourtant simplement de la mordiller, du bout des dents. Elle aurait menti en disant qu’elle n’appréciait cette façon qu’il avait de la titiller ainsi, néanmoins elle n’était pas pour autant rassurée. Elle se redressa, quittant ses bras, pour s’assoir sur le bureau, face à lui. Elle croisa ses jambes longues et fines presque sous le nez de son mari, les mains sur le bord du secrétaire. « C’était il y a longtemps mon cher époux. Ou devrais je dire mon cher frère. » C’était un coup bas, un peu cruel. Mais comme l’on dit, qui aime bien châtie bien. « Je t’appartiens ? » Elle lâcha un petit rire. « Si c’était le cas, cela se saurait. » Elle descendit, le toisant de sa hauteur. « Je suis réellement flattée de voir que tu vis dans le passé. » railla t’elle. A chaque fois qu’il lui parlait de ce sang que ces deux fous avaient gardé, son sang, elle se sentait… Comme un vulgaire objet sans intérêt. Une réminiscence de ce qu’il avait perdu et regrettait amèrement. « Mais suis-je sotte. Pourquoi me garder puisque tu as une jarre de mon si précieux sang. »

Elle détestait quand il faisait cela. Le mâle alpha. Le dominant. Le chef. Tout ce qu’elle détestait chez lui. Combien de fois avait elle eu envie de l’envoyer se faire paitre ? Pas autant de fois qu’elle ne l’avait réellement fait. Encore plus rares étaient les fois où elle était effectivement partie après une dispute. En chacune de ces occasions, elle avait passé une ou deux dizaines d’années loin de lui, avec un ou plusieurs hommes. Mais, quand elle y réfléchissait, elle faisait tout pour ne jamais s’attacher. Elle les choisissait bruns, les yeux sombres, la peau mate, quand Anton était blond, les yeux clairs et une peau quasi translucide. Ils étaient relativement petits et trapus, quand il était grand et mince. Il prenait soin de lui. Elle aurait pu continuer ainsi pendant des heures. Le seul qui avait présenté une sérieuse menace, Anton l’avait éliminé. Avait il eu raison ? S’il tenait vraiment à elle, et à leur mariage, on pouvait dire qu’il avait fait le bon choix. Mais en dehors de cela, tuer un autre vampire n’était pas exactement ce qu’on pouvait appeler la meilleure solution. Ils n’en avaient d’ailleurs jamais reparlé depuis. Et c’était bien pour cela qu’elle se montrait bien plus prudente vis-à-vis de ses amants. S’il avait un doute, quel qu’il soit, il n’était pas suffisant pour qu’il débarque une nouvelle fois dans un hôtel de luxe, armé d’un pieu en bois. Sa nouvelle proie était un vampire qui avait la moitié de son âge. Un délicieux blondinet, tout aussi mince que son mari. Mais bien moins sain d’esprit. Il avait toutefois un charme fou, un petit quelque chose qui la faisait craquer comme Anton, des siècles auparavant, l’avait faite craquer. Elle soupira. Lui, au moins, l’amusait, la faisait rire. Anton, avec sa morosité récurrente et permanente, en devenait ennuyeux. Mais pourrait elle un jour trouver meilleur amant ? Ce n’était jamais arrivé, et ce n’était pas faute d’avoir eu des dizaines d’amants. « Comptes tu travailler encore longtemps ? » lui demanda t’elle. Comme si elle allait lui laisser le choix. Elle se décida enfin à tourner la tête vers lui. Elle joua innocemment avec une longue mèche de cheveux. Comme à chaque fois qu’elle désirait le titiller. Mais cette fois ci, il en faudrait plus. Elle se dirigea vers la porte, le verrouillant ostensiblement, avant de retourner face à Anton. Elle laissa un grand sourire s’afficher sur son visage délicat. Il était désormais évident qu’elle ne lui laisserait plus le choix. Elle défit lentement mais fermement la fermeture de sa robe immaculée. La laissant tomber à ses pieds pour ensuite la jeter au loin d’un gracieux mouvement de la cheville. Bien entendu, elle ne portait absolument rien sous la robe bien trop moulante, bien trop affolante pour n’importe quel homme. « Et maintenant ? »
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


ANTON & ANYA - Devils all around you Empty
MessageSujet: Re: ANTON & ANYA - Devils all around you   ANTON & ANYA - Devils all around you Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

ANTON & ANYA - Devils all around you

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» MIRCEA & ANYA - All that I am asking for...
» Anya - Triste réalité
» Anya △ As tu rêvé de moi la nuit dernière ?
» Fight for what you want [Pv Anton]
» ANTON ♠ Making it easy to murder your sweet memory

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 ::  :: Inner Cardiff :: Les habitations-