Nom : Caldway ▻ Prénom> : Sophia Anastazia ▻ Âge : C'est un peu indiscret, elle semble en avoir 25, mais elle à un peu plus de deux-cent siècle. 285 ans pour être précis. ▻ Race : Vampire ▻ Date et lieu de naissance : 05/03/1727 à Londres ▻ Métier : tueuse en série ▻ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle, même si avec le temps, elle à tenté deux ou trois choses avec les femmes. ▻ Statut social : On devrait dire célibataire. Elle est seule depuis quelques décennies, ayant perdu son ''compagnon'' de vie, si seulement ils étaient capable d'amour. ▻ Caractère : Éduquée - Charmeuse - Sensuelle - Gourmande - Provocante - Violente - Impulsive - Possessive - Jalouse - Agressive - Rusée - Éloquente - Tenace - Cultivée ▻ Groupe : Les vampires ▻ Pouvoir : Les pouvoirs des vampires ▻ Célébrité : Amber Heard ▻ Crédit : queen G


À toujours été une grand amoureuse de la littérature җ passe beaucoup de temps à lire җ aime apprendre et ne cesse jamais de s'instruire җ n'est pas une fervente admiratrice des époques qui sont en train de se dessiner sous ses yeux җ préfère largement les époque d'antan, surtout pour le côté de la séduction et contrairement à maintenant où c'est facile d'avoir tout rapidement җ n'aime pas particulièrement la technologie җ aime abuser de ses charmes féminins pour rendre les hommes fous җ n'est jamais tombé amoureuse d'un homme җ est très possessive envers lui qui prend place dan sa vie depuis des années җ n'aime pas le voir autour d'autres femme җ devient facilement jalouse et agressive par la même occasion җ sait parfaitement contrôler sa soif de sang humain җ aime jouer avec ses victimes җ possède une liste élevée de mort җ aime prendre du temps pour se vêtir et se mettre à son avantage җ porte toujours des talons haut җ est née d'une famille bourgeoise җ à toujours eu tout ce qu'elle voulait җ est plutôt égoïste җ n'aime pas partager җ à fait très peu de vampire pendant sa vie de non-vivant җ elle n'aime pas transformer tout ce qui lui tombe sous la main җ elle vit dans une maison trop grande pour elle җ elle n'aime pas faire le ménage, quelqu'un d'autre le fait pour elle җ elle aime écrire җ elle joue du piano җ elle aime la musique classique җ elle adore l'art җ aime tuer җ aime danser җ n'aime pas les femmes du monde actuel, elle les prends souvent de haut җ n'a pas froid aux yeux җ elle n'a pas la langue dans sa poche җ elle sait parfaitement mentir җ elle semble hautaine җ elle n'aime pas parler d'elle җ elle aime séduire et elle est très joueuse җ elle tient à un seul personne, un vampire qu'elle n'a pas vu depuis longtemps



Angleterre, Coatbridge, 1772
Cela faisait vingt ans que sa vie avait cessé pour devenir éternelle. Sa transformation avait été particulièrement. Vampire possessif qui voulait faire de la demoiselle son objet, sans connaître son caractère libre. Loin d’elle l’envie de devoir appartenir à un être qui avait su la charmer pour quelques nuits. Voulant garder la beauté de la demoiselle et pouvoir en abuser à jamais, il avait décidé de la faire sienne sans penser qu’elle allait le fuir rapidement. Cela faisait quelques années qu’elle avait décidé de le suivre, rapidement lassé de son comportement possessif et parce qu’il n’avait été, à la base, qu’une aventure sans réellement d’importance. La blonde avait entrepris de visiter l’Angleterre, en visiter les recoins et c’est pour cette raison qu’elle atterrissait à Coatbridge. Ce soir, elle sortait en quête d’amusement, faire semblant d’être comme les autres, se mêler dans la foule et trouver une source d’amusement digne de ce nom. Une taverne quelconque. Elle y entrait, vêtue d’une robe sublime, corset renfermant ses courbes délicates, sa chevelure blonde remontée contre sa nuque et son visage simplement poudré avec les artifices de l’époque. Rares étaient les femmes qui s’aventuraient dans un monde d’homme sans se tenir aux bras de son mari, mais elle n’était pas une femme comme les autres, loin d’avoir peur pour les éventuels problèmes. Les regards se posaient sur elle, alors qu’un léger sourire passait sur ses lèvres délicates, observant la salle du regard avant que son regard ne se pose sur un homme, qui était accompagné d’une jeune femme un moment plus tôt, surement sa compagne. Elle l’avait suivi jusqu’à ce qu’il se retrouve seul ici, surement pour passer un peu de bon temps entre hommes, jouer une partie de cartes pour gagner un peu d’argent. Cheveux foncés, regard profond, physique délicieux, tout à fait dans les cordes de la demoiselle. Ses yeux pâles l’observaient. Charmant. La demoiselle attendait sagement le moment où elle allait se joindre au groupe, le moment où une place allait se libérer pour se poser près de lui. Ses doigts glissaient contre son verre qu’elle posait contre ses lèvres. L’attente était longue, mais l’homme en valait la peine. Une place se libérait à côté de lui et la jeune femme pour prendre la place tout juste à côté de lui. « -Dites-moi messieurs, laisseriez-vous une femme jouer en votre compagnie?» Les regards sceptiques se posaient sur elle alors que la demoiselle posait son regard dans celui de sa proie pour la soirée, affichant un sourire charmeur, approchant distraitement sa chaise pour se trouver près de lui. Les cartes filaient contre la table, alors que ses lèvres abordaient des sourires mutins, ses pieds qu’elle laissait se poser contre la jambe du brun. Contact qu’elle créait. Laissant son regard en dire long sur les charmes qu’elle lui faisait subtilement. Des cartes qu’elle lui tendait, laissant ses doigts caresser et effleurer sa main pendant quelques secondes. Sans en mettre trop, mais l’intriguer doucement pour qu’il ait envie de la revoir, pour allumer un peu sa curiosité, pour se faire une petite place dans sa tête. La soirée passée, elle se faisait une place dans cette table d’homme, arrachant des rires, amusant certains, laissant quelques contacts légers se créer entre eux. Quelques mots échangés, son prénom, le siens, présentation banale, un désir soufflé de le revoir. La soirée se dissipait doucement et elle se levait, quand les hommes quittaient pour retourner à leur vie distinctive. Sa main qui se tendait vers lui et sa voix doucereuse qui se faisait entendre. « -J’espère avoir le plaisir de vous recroiser Evander.» Ils se quittaient. Malheureusement pour lui, elle ne comptait pas lâcher le morceau. À la base, elle avait voulu son sang, mais au cours de la soirée, il avait su lui plaire. Cette façon dont il tentait de refuser ses avances, cette façon qu’il avait de tenter de rester fidèle. Elle voulait le voir céder. C’était à voir.

Angleterre, Coatbridge, 1772
Des semaines qu’elle lui tournait autour. Son charme opérait doucement. Laissant l’humain venir à elle. Sophia, doucement obsédée par ce désir de l’avoir seulement pour elle, se plaisant à ses charmes et le regard d’Evander posé sur elle. Rencontres illégales qui ne devaient avoir lui. Lui quittant la demeure et sa compagne pour venir retrouver la jeune femme. Agissement mal vu à cette époque. Ce soir, ils devaient se rencontrer une fois de plus. Douce euphorie qu’elle pouvait ressentir, le sortir de sa vie de misère et d’ennui pour le garder auprès d’elle. La délicieuse blonde marchait en direction du point de rencontre, une petite auberge bien banale, question de parler de laisser le charme opérer. Les choses devenaient de plus en plus sérieuses, une tension se faisait sentir et la jeune femme n’avait jamais usé d’autant de patience avec une de ses victimes. Ce qu’il n’était plus réellement. La demoiselle avait d’autres projets en tête que le vider de son sang. La porte de l’auberge se poussait, élégamment vêtue, un corset opprimant doucement sa poitrine et affinant sa taille déjà bien petite. La tension était au rendez-vous, cette attirance qui avait pris forme entre eux, l’endroit propice aux échanges illégaux. C’est dans un léger sourire qu’elle venait rejoindre le jeune homme dans la suite qu’elle s’était facilement soudoyée pour ne rien payer. Lui, nerveux, posé sur une chaise en train de siroter un verre d’alcool. Elle venait le rejoindre pour se poser tout près de lui, ayant déjà eu le loisir de se trouver aussi près, sans que rien ne se passe. « -Bonsoir Evander.» Son regard croisait le sien, elle se servait aussi un verre, le portant à ses lèvres pour en prendre une longue gorgée. « -Vous savez mon cher, j’aurais les moyens de vous faire sortir de cette vie de misère si seulement vous me laissiez le loisir de vous aider sans me faire repousser sans arrêt.» Ses doigts bougeaient pour venir doucement se poser contre la jambe du jeune homme, caressant sa cuisse à travers le tissu distraitement. D’abord un peu réticent, il levait la main vers la sienne pour caresser la peau trop pâle de la douce créature. Beaucoup de fois elle avait tenté de prendre possession de ses lèvres sans qu’elle ne puisse arriver à ses fins. La demoiselle avait bougé pour se retrouver tout près de lui, laissant son souffle parcourir sa peau, laissant la paume de sa main venir s’apposer contre sa joue. Murmure soufflé doucement, effleurant presque ses lèvres des siennes. « -Laissez-moi faire.» Faveur qu’elle lui demandait, parce qu’il était évident qu’il y avait cette forte attirance entre eux. Les lèvres froides de la blonde venaient se poser contre celle de l’homme, aimant à sentir cette chaleur sur sa peau, elle laissait ses doigts doucement ouvrir sa chemise, ne quittant pas ses lèvres, s’adonnant à continuer ce baiser langoureux. Cela faisait des semaines qu’elle tentait de le charmer, mais il s’était avéré difficile de se faire une place dans son cœur. Ses mains qui se faisaient aventureuses, alors que celle de l’humain venait ouvrir les lacets de son corsage. Caresses fugaces, les vêtements qui finirent par trouver le chemin du sol, il avait laissé sa femme derrière pour prendre le dessus en homme qu’il était. Usant de force pour la plaquer sur le lit et prendre place par-dessus la jeune femme, laissant ses baisers ardents couvrir sa peau froide, laissant ses mains caresser ses formes dénudées, tandis qu’elle laissait les siennes parcourir son corps délicieux. Nuit de vice et de délice. La première d’une série de plusieurs.

Angleterre, Coatbridge, 1772
Les aventures illégales se succédaient. Baisers volés en cachette. Nuit de vice passé en la compagnie du jeune homme, elle ressentait ce besoin pressant de l’avoir pour elle, de le garder à ses côtés et de ne pas le partager. Ce soir, ils devaient se rencontrer, s’échanger quelques mots ou quelques baisers. Patiente, elle attendait doucement sur le bord de la porte qu’il daigne se montrer, laissant ses doigts replacer cette robe délicieuse qu’elle avait enfilée avant de venir à sa rencontre. Sophia voulait le transformer. Elle voulait qu’il mène cette vie de folie avec lui, abusé des vices, semer le chaos. Attache étrange qu’elle ressentait pour lui, elle était incapable de qualifier ce qu’elle semblait ressentir, si seulement elle était dotée de sentiments. La silhouette de l’homme se dessinait sous ses yeux, faisant naître un sourire sur ses lèvres rouges. Perdu entre le malaise et l’envie de la revoir, il se montrait de plus en plus audacieux avec elle, incapable de résister à cette envie de passer du temps en sa compagnie. « -Contente de vous voir.» Baiser volé doucement contre ses lèvres. La nuit complètement noire les laissait cacher aux regards curieux. « -L’offre de changer de vie tient toujours. J’aimerais qu’elle vous intéresse autant que moi l’idée que vous en faisiez partie me plait.» Le souffle de la jeune femme se perdait sur ses lèvres, laissant son corps se coller doucement au sien, ses doigts passés contre la nuque du brun. « -Votre idée m’obsède de plus en plus. Elle est alléchante. Je vais finir par vous céder.» Sourire charmant passant sur ses lèvres de la blonde alors qu’elle ne quittait pas son regard, une seule fois. Ses doigts caressaient doucement sa peau. « -Vous devriez.» Un autre baiser fusait entre eux, surement un signe d’approbation. Les lèvres de la demoiselle finissaient par venir dans son cou, murmure contre sa peau. « -Ça sera un peu douloureux.» Les crocs de la demoiselle venaient se planter dans son cou, aspirant son sang, buvant à même celui qui était son obsession depuis quelques semaines. Un échange. Son sang dans le corps de l’homme et sa mort. Une nouvelle vie qui allait s’offrir à lui.

Angleterre, Cardiff, 2012
Ils avaient semé la terreur pendant plus d’un siècle et maintenant ils étaient séparés depuis presque deux siècles, un peu moins. Ce n’était pas la même chose sans lui. L’amusement loin d’être aussi intéressant ou intense. Elle était sienne, comme il était sien. Jalousie maladive qu’elle ne pouvait contrôler, ayant envie de tuer toutes les femmes qui passaient sous ses doigts. Avant elle, il aimait une femme et elle n’en avait par pris compte, c’est justement à cause de quelques regrets en lui qu’elle avait décidé de partir, trop orgueilleuse pour lui avouer quoi que ce soit. Laissant derrière eux tous ses morts, ayant retiré trop de vie. Le plaisir de torturer et de créer la souffrance. Le plaisir du sang. Le plaisir de la chair. Jamais elle ne l’avait perdu de vu, observant ce qu’il faisait, observant les rencontres féminines qui pouvaient faire partie de sa vie et ne pouvant s’empêcher de mourir doucement de jalousie. Cette possessivité était malsaine, mais ils avaient été ensemble bien trop longtemps pour qu’elle ressente l’envie de le partager. Sophia était ainsi, surtout avec lui. D’une certaine façon, il lui manquait. Elle crevait de ce manque, de cette passion commune qu’était la chasse d’humain, de cette façon qu’ils avaient de tuer sans le moindre remord. Elle errait seule, depuis longtemps, en quête d’un substitut, mais revenant à lui sans le vouloir. Le seul vampire qu’elle avait créé dans ce monde. Le seul vampire qui avait fait partie de sa vie. Il serait amplement temps de le retrouver et ils sont tous deux dans la même ville, Cardiff.

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