Nom : Hemmigway ▻ Prénom> : Aaron ▻ Âge : 33 ans ▻ Race : Chasseur héréditaire ▻ Date et lieu de naissance : 03 mars 1979 à Londres ▻ Métier : inspecteur et tueur de vampire ▻ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ▻ Statut social : Veuf depuis cinq ans ▻ Caractère : Solitaire - Travaillant - Blessé - Vengeur - Violent quand il se bat - Redoutable - Bon combattant - Ne veux plus s'engager - Méfiant - Ne s'ouvre pas facilement - charmeur - Sait parler aux femmes ▻ Groupe : Chasseur héréditaire ▻ Pouvoir : Anticipation des mouvements ▻ Célébrité : Jensen Ackles ▻ Crédit : mymz & tumblr


Ses parents sont morts dans un incendie quand il était jeune җ Son père était aussi inspecteur җ Il est souvent seul җ Il n'aime pas trop la compagnies җ Il ne s'ouvre pas facilement җ Il manque toujours җ Il bois un peu trop җ Il vit seule dans un appartement җ Il ramène des femmes de temps en temps pour oublier la douleur җ Il est violent quand il se bat җ Il déteste les vampires depuis la mort de sa femme җ Il porte encore sa bague җ Il aime manger җ Il n'aime pas faire la cuisine җ Chez lui tout est propre et rangé җ Il passe beaucoup de temps à son boulot җ Il passe la plupart de ses nuits à traquer les vampires җ Il ne se laisse jamais séduire par les femmes vampires җ Il éprouve une haine viscéral pour eux җ Il ne parle jamais de lui җ Il bois souvent җ Il ne veux plus retomber amoureux җ Il perd toujours ceux qu'il aime җ Il a apprit à se battre et à détester les vampires alors qu'il était gamin, c'est pire depuis que sa femme est morte җ Il est particulièrement doué au combat җ Il connait bien les vampires, depuis toujours, grâce à ses parents



LONDRES, 1980, 23H20, MAISON DES STEVENSEN
Il était tard. Une longue journée venait de se terminer pour l'enquêteur. Un très bon policier et un chasseur particulièrement doué. Un très bon membre de l'équipe qui donnait beaucoup de son temps. Aaron arrivait toujours à ses fins mais il s'était fait pas mal d'ennemis en prison. Trop de meurtrier derrière les barreaux, trop de vampires dans les rues. Il se pensait en sécurité mais ce n'était pas le cas. La route se faisait lentement. Le chemin vers sa demeure ou sa femme l'attendait simplement. Une belle vie avec elle. La femme de sa vie. Ça faisait des années qu'ils étaient ensemble et qu'ils filaient l'amour parfait. Aaron disparaissait souvent, pour régler des affaires ou pour son boulot. Jamais elle ne lui en voulait. Jamais elle ne se plaignait. Il faisait ce qu'il pouvait. Passionné par son métier, passionné par sa vie. Il avait ce sentiments de justice, ce sentiment qu'il suivait les traces de son père qui avait été un grand inspecteur. Ses parents qui étaient mort dans un incendie. S'il n'avait pas rencontré sa femme, il ne serait pas aussi heureux. Il serait sûrement encore plus plongé dans son travail à en devenir fou. Elle lui avait fait oublier la douleur. Elle lui avait fait oublier le mal. Elle était la seule personne à qui il tenait. Il aurait pu mal tourner. Il aurait pu être tout autre mais il avait croisé sa femme. La seule personne à qui il tenait vraiment. Un coup de foudre. Un amour qui ne se dissipait pas. Des années de mariage. Des années de bonheur. Il avait toujours envie de rentrer chez lui pour la retrouver.

Sa voiture se stationnait devant sa maison. Un sourire sur ses lèvres il sortait pour se rendre à la porte d'entrée. Elle était fracasser. Entrouverte. Quelque chose ne tournait pas rond. Quelque chose allait mâle. Il sentait son cœur manquer un battement. Il sentait son cœur perdre le contrôle. Il avait peur. Pour la deuxième fois de sa vie, il était mort de peur. Ses doigts attrapaient son arme qui se trouvait sous son veston et il poussait la porte du pied pour se glisser à l'intérieur. Silence terrifiant. Silence désagréable. Silence étouffant. Il avait du mal à respirer. Il avait du mal à garder le contrôle. Ses pas e dirigeait automatiquement vers la chambre de sa femme. Elle n'était pas en bas et à cette heure, elle devait l'attendre sagement dans le lit. Plus les marches se réduisaient, plus une odeur désagréable venait percuter ses narines. Une odeur qu'il ne voulait pas respirer. Une odeur qu'il connaissait trop par cœur. Une odeur qui était en train de le rendre fou. Il continuait de se dire que ce ne pouvait pas être vrai. Aaron se disait que c'était un mauvais rêve ou le fruit de son imagination. Il arrivait à destination. La porte de sa chambre était ouverte. L'odeur était simplement étouffante. Son cœur battait tellement fort qu'il allait lui briser les côtes. Une respiration. Il se glissait dans la chambre. Image troublante. L'impression de mourir. La culpabilité. La souffrance. Les larmes qui coulaient le long de ses joues. Spectateur d'une scène qui ne devrait pas avoir lieu. Signature d'un criminel qu'il avait arrêté. Un vampire. C'était atroce. Sa femme était étendue sur le lit souillé de rouge. Son corps brisé. Son corps ouvert, son sang vidé. Ses yeux ouvert. Le mal sur son visage. Son corps mutilé, torturé, brisé, souillé, violé. Sa vie venait de s'arrêter. Sa vie venait de prendre fin. Ses doigts cherchaient maladroitement le téléphone posé dans le creux de sa poche. « -Police de Londres, comment puis-je vous aider?» Un silence. « -C'est Aaron. C'est pour signaler un meurtre.» Un automate. Il débitait le reste. L'adresse. L'endroit. La scène. Il parlait comme un robot. Il mourait de l’intérieur. Il se fermait. Il ne parlerait plus. Il ne vivrait plus. Il allait se venger. Peu importe les moyens. Peu importe comment.


CARDIFF, 2012, BUREAU DU PSY DE LA POLICE
Son regard se posait son la femme devant lui. Ça faisait des années. Rien n'avait changer. Rien sauf lui. Il était obsédé par le meurtrier de sa femme. Il ne pouvait plus vivre. Il ne pouvait plus être heureux. Il passait son temps à travailler sans relâche pour ne pas penser. Sinon il buvait. « -Comment vous sentez-vous? C'est votre supérieur qui vous à forcez à venir ici. Il sait que quelque chose ne va pas.» Aaron n'avait pas envie de parler de lui, de sa femme ou de ce qu'il avait pu voir ce soir là. Il n'en avait presque jamais parlé, sauf à sa collègue qui le connaissait par cœur. C'était une bonne amie. « -Je n'ai rien à vous dire. Je vais bien. C'est de l'histoire ancienne.» Mensonge. Ca n'avait rien de vrai et il ne pensait pas du tout ce qu'il était en train de dire. Peu importe. Elle n'allait pas le faire parler.« -Il paraît que vous avez des problèmes de boissons. Vous sortez, vous buvez et vous finissez par vous battre ou rentrer chez vous, seul. Ce n'est pas très bien pour un officier de police, surtout un inspecteur. Non?» Il se taisait. Il haussait les épaules. Pas question de parler avec elle. Il buvait de temps en temps et sa rage pour les vampires était atroce. Il les tuait sans le moindre remord. Il chassait, ne dormait presque pu. C'était sa vie.

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