Nom : Hopkins ▻ Prénom : June ▻ Âge : Vingt ans ▻ Race : Une simple humaine, fasciné par les vampires, surtout un. ▻ Date et lieu de naissance : 05/03/1992 à Cardiff ▻ Métier : Elle se prostitue pour gagner de l'argent, elle voulait faire des études, en cinéma mais ce rêve est bien loin ▻ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle ▻ Statut social : Célibataire, mais la propriété d'un certain vampire ▻ Caractère : Droguée - Provocante - Impulsive - Blessée - Fidèle - têtue - Artistique - Curieuse - Obsédé - Dépendante - Franche - Vulgaire ▻ Groupe : les serviteurs ▻ Célébrité : Kristen Stewart ▻ Crédit : Morphine


җ Elle fume sans cesse, elle ne peut pas vive sans cigarette җ Elle parle mal җ Elle griffonne toujours sur des bouts de papier, elle à du talent, mais elle n'a pas d'agent җ Sa mère est morte sous les coups de son père җ Son père est violent et a toujours battu sa fille җ Son père est la seule personne qu'elle possède җ Elle à toujours été rebelle dans l'âme җ Elle se drogue depuis toujours, mais maintenant elle est dépendante au sang de vampire җ Elle vit dans un appartement miteux җ Elle n'a jamais été en couple җ Elle est bordélique җ June boit du café noir et ne mange pas beaucoup җ Elle n'aime pas faire la cuisine et mange toujours au restaurant җ elle est fasciner par les vampire dont un en particulier җ Elle aime mettre sa vie en danger җ Elle ne connait que la violence depuis toujours җ Elle est perverse җ Elle n'a peur de rien җ Elle se conduit parfois comme une idiote



premier mois
Sa dose venait de prendre place entre ses veines, empoisonnant son sang comme elle avait l’habitude de faire. La demoiselle venait de perdre son boulot de serveuse. Trop droguée, trop incompétente, trop en retard. Des tas de raisons qui avaient fait qu’elle n’avait plus de boulot, donc plus d’argent. Rien qui ne s’annonçait très bien. Son corps se levait mollement de son canapé crasseux alors qu’elle se mettait en marche vers la commode. Poudre dans ses narines, trace blanche qu’elle essuyait du revers de la main. La brune s’activait à chercher les petits sachets euphorisant, pour voir comment il lui en restait avant qu’elle ne tombe sans rien. Combien de jours. Combien d’heures est-ce qu’elle allait pouvoir tenir. Elle ne ferait surement pas long feu. June ne tiendrait surement pas longtemps. Elle s’activait à chercher pour tomber sur un vide, une absence de drogue. Plus de drogue. Plus de boulot. Depuis un moment elle venait à penser d’offrir son corps à celui qui allait payer le plein prix. Un peu d’argent pour sa dose. Comme elle aimait le sexe, baiser pour de l’argent ne serait sûrement pas déplaisant. Surement l’effet de la drogue qui lui faisait penser de la sorte, mais la petite humaine s’aventurait dans la nuit en quête d’un client. Elle venait officiellement de se déclarer pute. Elle ne pouvait manquer de drogue. Elle ne pouvait pas être à court.

Ses talons claquaient sur le sol. Ses doigts arpentaient ses jambes nues pour abaisser un peu le tissu de sa robe, cachant ainsi ses cuisses trop frêles, l’absence de nourriture la rendait chétive. Complètement stone, elle ne se rendait pas compte du froid qui mordait sa peau, de la pluie qui humidifiait ses vêtements. Elle faisait le trottoir. C’était sa place. Elle était une pute. Son père ne cessait de lui répéter cela depuis son enfance. C’était son rôle. Elle faisait la rue, daignant faire la difficile quand un homme lui semblait trop hideux. À la recherche d’un homme potable, même si cela était presque impossible. Cela faisait des heures qu'elle était là. Une silhouette se dessinait, carrure imposante, regard perçant dans cette noirceur et sous cette bruine. Elle avançait vers lui, observant ces traits charmants, ce corps attirant. Sans penser, elle laissait son corps se coller au sien, ne ressentant pas ce froid sur sa peau, trop défoncée pour remarquer quoi que ce soit d’autre qu’il était attirant. Ses doigts se baladaient sur son torse. « -Tu as pas envie de passer un peu de bon temps? Si tu payes, je suis à toi pour la nuit. No limit. Faut payer en conséquence.» Ne se doutant pas de ce qu’il pouvait être, elle ne rêvait que de son argent pour acheter sa dose. La drogue c’était sa raison de vivre. Elle était souvent moins consciente qu’elle était dans ce monde délicieux, stone la plupart du temps. Regard lubrique alors qu’elle laissait ses doigts glisser plus bas, descente vertigineuse vers son bas ventre. Il sortait quelques billets de sa poche en les passants sous les yeux de la droguée. Sa langue passait lentement contre ses lèvres. « -Passe devant.»Sa voix la faisait frisonner. Se rendre dans l’hôtel le plus près et baiser pour de l’argent. Encore complètement défoncée, la porte se fermait alors qu’elle ouvrait lentement la fermeture de sa robe. « -T’as envie de quoi?» Charmé sans le vouloir. Attiré. Ses dents s’acharnaient sur sa lèvre pendant un moment. Son dos se plaquait fortement contre le mur, il venait de la pousser sans la moindre douceur. Son souffle lui manquait. Les lèvres dans son cou. Son souffle s’affolait alors qu’elle passait ses doigts sur la chemise pour en ouvrir le tissu. La chaleur montait dans son corps, ses pupilles dilatées l’observaient. Pression dans son cou. Douleur traversant sa chair. Son dos se cambrait. Un couinement qui sortait de ses lèvres alors que la douleur se faisait plus présente. Douleur se mélangeant à une sensation étrangement jouissive.

Son sang était en train de quitter son corps, mais finalement elle se retrouvait l’instant d’après contre le lit. Son ventre contre le lit. Elle tentait de bouger, mais les mains se faisaient imposantes. La force qu’il avait la coulait sans qu’elle ne puisse bouger. Les vêtements étaient rapidement retirés et trouvaient le chemin du sol. Un peu apeurée, pétrifiée, défoncée. Son cœur qui battait trop vite dans le creux de sa poitrine, contrairement à lui. Les mains masculines parcouraient son corps, bisant les vêtements, la faisant frissonner de peur et d’envie. Impossible de bouger. Les doigts s’immisçaient en elle sans la moindre douceur, ravageant son intimité sans vergogne. Son membre contre sa croupe qui se faisait se plus en plus imposante. Le contraste du froid contre sa peau brûlante. Comme un cadavre. Quelques mouvements entre ses cuisses avant que son membre prenait la place de ses doigts. Coups de reins violents, son souffle qui lui manquait, des cris de douleurs qui passaient entre ses lèvres. Son objet. Il était en train de la briser et elle devait agir. La brune était en train de perdre la vie sous les coups violents de son tortionnaire. Bouger. Agir. Ne pas se laisser faire. Reprendre le dessus. So corps commençait à se mouvoir, décidé à ne pas être un objet dont on use. La drogue se dissipait dans son corps et la peur prenait place. Agir ou crever. La brune était par-dessus le vampire. Encore maintenant, elle avait toujours cru que c’était mythe, mais c’était réel. Les crocs dans son cou, le charme, la froideur de sa peau. Par-dessus lui, son bassin mouvait frénétiquement. S’empaler sur lui avec ardeur. Onduler ses hanches. Enfoncer sa trique avec acharnement. Gémissement. Chaleur, sueur. Les corps moites qui se percutent. Sa trique qui se frotte en elle, elle l’enfonce, son bassin qui ne cesse pas, les mains du vampire lui brise sa peau, ses dents qui coupe se chaire. Le début de la fin.

troisième mois
Trois jours. Trop long. Elle sentait son corps trembler, elle sentait ce foutu manqué dans son corps. C’était en train de la tuer. June voulait savoir, voir. Est-ce qu’il allait tenter de venir vers elle ou elle allait se percuter à un mur? Aucune idée. Posée dans le creux de son canapé, elle en tremblait. Le sang d’Alekseï était sa drogue. Plus puissante, plus euphorique et faisant de la brune une vraie dépendante. La pire drogue. La plus addictive. La meilleure. Elle se maudissait d’être aussi dépendante de lui, mais elle se complaisait d’être son objet. Fascinée, attirée, séduite, dépendante. Elle ne pouvait vivre sans et c’était bien là le plus grave. Ses mains se serraient, tentant de calmer cette douleur lancinante du manque de sang vampirique dans son système. Trop bien quand elle en avait en elle, meilleure que n'importe quelle drogue chimique. Tremblante, suffocante. Trois jours c’était trop long sans sa drogue, sans Lui. Impossible de rester immobile. La droguée commençait à croire qu’il n’allait jamais venir, qu’elle n’était qu’un objet comme les autres, un paquet de sang, rien de spécial. La rage en elle, le manque, elle était instable. Son corps s’agitait, elle faisait les cent pas dans son appartement avant de se diriger vers la porte. Elle avait besoin de drogue. De vraies drogues. Pas de sang. Elle devait se défaire de cette foutue addiction bien trop présente en elle. Elle ne pouvait pas sans Lui et elle s’en rendait compte. La porte s’ouvrait et son corps se percutait à un autre, froid. Corps qu’elle connaissait sur le bout de ses doigts. Apaisée, effrayée, satisfaite, elle levait son regard pour le poser sur lui. Son souffle qui lui manquait, les mains qui se serraient sur ses bras frêles et qui la forçaient à faire demi-tour pour la faire entrer dans son appartement. Beaucoup plus fort qu’elle, soumise quand il le fallait, mais toujours aussi rebelle. « -Tu fais quoi au juste June? Tu t’isoles? C’est un jeu?» Calme. Terrifiant. Il la faisait vibrer. Elle n’avait pas de réponse. C’était un test qu’elle tentait de faire, se rendant simplement compte à quel point elle avait besoin de Lui. « -C'est rien du tout.» Ne voulant pas s’avouer dépendante, même s’ils le savaient tous les deux, elle ne voulait pas le dire à haute voix. Les marques de crocs sur sa peau, qu’elle s’acharnait à cacher se faisait multiple. June en était à aimer cette douleur délicieuse des crocs d’Alekseï perçant sa chair. Tremblante, elle se défaisait de son emprise pour venir coller son corps au sien, capturer ses lèvres, briser la peau de ses lèvres pour en prendre le sang lentement de sa langue. Sa drogue. Son poignet était fermement empoigné alors qu’il faisait pencher le corps de la demoiselle un peu en arrière. « -C’est ça que tu veux? Mon sang?» Sourire moqueur sur ses lèvres. Elle rageait. Elle en avait besoin, elle en crevait. La poigne était forte, elle grinçait des dents. En colère? Lui. Il semblait. « -Tu me fais mal bordel.» Elle tirait sur son bras, mais il était plus fort qu’elle, plaquant la demoiselle contre le dossier de son canapé. Les mains du vampire venaient remonter sa robe contre ses cuisses, collant son corps au sien, lui faisant part de son envie. Elle serrait la mâchoire, laissant ses mains arpenter la peau glaciale pour défaire son pantalon, glissant ses doigts contre son membre un moment. Il était le maître, souvent. Tenant fermement le corps de la brune, il la plaquait rapidement dans le mur le plus près pour se glisser entre ses cuisses violemment. Cri de douleur. Délice particulier. Elle passait ses jambes autour de lui pour onduler son bassin, pour suivre ses mouvements brusque et bestial. Destruction de son intimité, de sa peau, de son corps, de tout ce qu’il pouvait prendre d’elle. Les doigts de la jeune femme qui se serrait dans son dos, enfonçant ses ongles dans la chaire de son amant. Coups de bassin faisant crier la jeune brune. Une punition. La violence dans ses gestes, mais elle savait qu’il la protégeait derrière son dos, sans lui dire, en secret. Lui faire comprendre qu’elle ne devait pas lui désobéir. Lui faire comprendre qu’elle devait faire ce qu’il volait, mais pour combien de temps?

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